La virtualisation : comment la virtualisation permet de créer un environnement informatique simulé ou virtuel ?

La virtualisation: Comment la virtualisation permet de créer un environnement informatique simulé ou virtuel ? - Didaktic
crédit : Just_super (virtual reality Technology)

La médiatisation entre l’homme et la nature : vers une virtualisation totale de notre vie

Comme le dit si bien Jacques Gleyse, un éminent professeur, dans son article sur les enjeux symboliques de la pandémie intitulé « Le virtuel et le réel »,  » la culture a progressivement pris le pas sur la nature chez Homo sapiens sapiens, une espèce dotée de la faculté de réflexion sur sa propre pensée « . Ce phénomène s’est exacerbé pendant la période de la pandémie, où les mesures restrictives et l’émergence du Covid-19 ont entraîné une augmentation significative de l’utilisation des technologies de l’information.

Ainsi, le virtuel concurrence le réel et les activités liées à la culture, aux techniques et aux technologies prennent le pas sur les interactions physiques et la nature brute. Le cerveau n’a plus besoin d’interagir collectivement, de partager avec une communauté ou d’avoir des contacts humains directs et physiques pour entrer en contact avec l’information. Chacun peut désormais rester devant son ordinateur ou accroché à son smartphone et être en contact avec les autres sans avoir de contact physique réel avec eux. Cette évolution du travail humain s’étend inévitablement à tous les aspects des relations humaines[1].

Par exemple, sur les plateformes telles que Facebook, Twitter, WhatsApp, TikTok, WeChat, etc., ce sont des avatars virtuels qui interagissent, et non plus des individus réels.

D’ailleurs, de moins en moins de personnes révèlent leur véritable identité en ligne. De plus, ce sont des applications qui gèrent le travail des livreurs d’Uber Eats, des chauffeurs d’Uber, et ainsi de suite. L’ubérisation du travail est vivement critiquée, mais elle s’est considérablement renforcée pendant la pandémie, prolongeant ainsi la virtualisation d’activités pourtant bien réelles. Même les magasins, quel que soit leur type, deviennent virtuels avec la prédominance des géants de la technologie tels que les GAFAM[2].

Il y a de nombreuses années, le philosophe allemand Jürgen Habermas soulignait déjà, dans son ouvrage « La Technique et la science comme idéologies » publié en 1968, que les fonctions humaines étaient progressivement transférées sur des objets techniques. Par exemple, la simple action de marcher a été remplacée par des mécanismes de plus en plus sophistiqués tels que le vélo ou la voiture. Les tâches nécessitant la force musculaire humaine sont désormais effectuées par des outils tels que les visseuses, les pelleteuses mécaniques, les perceuses et les tours électriques.

Ainsi, toutes les fonctions autrefois accomplies par le corps sont devenues techniques et technologiques[3]. Certains experts en intelligence artificielle et en neurosciences avancées comme Ray Kurzweil futurologue, ingénieur et Nick Bostrom philosophe et directeur de l’Institut pour le futur de l’humanité à l’Université d’Oxford ont exploré la perspective d’une simulation ou d’un transfert des fonctions cognitives dans des systèmes informatiques. Ces discussions soulèvent des questions complexes sur la nature de l’esprit, de la conscience et de l’identité.

L’intelligence artificielle (IA), un terme de plus en plus courant, représente une forme d’intelligence virtuelle qui est devenue omniprésente dans notre quotidien à travers des outils tels que les moteurs de recherche, les smartphones et les ordinateurs. Cette évolution est également soutenue par J.-P. Durand et F.-X. Merrien qui affirment que « c’est seulement avec l’électronique et l’informatique que l’homme n’a plus besoin de guider directement la machine : c’est une nouvelle phase de médiation entre l’homme et la nature ; après avoir remplacé l’énergie humaine (ou animale), il procède lentement à la substitution de son intelligence » (Durand J.-P., Merrien F.X., 1991, p. 433). Par conséquent, il est fort probable que le domaine du savoir et de la connaissance virtuels occupe de plus en plus de place dans notre vie quotidienne

L’IA est déjà capable d’accomplir des tâches complexes telles que la reconnaissance vocale, la traduction de langues étrangères et même la conduite de véhicules autonomes. Avec les avancées technologiques, il est probable que l’utilisation de l’IA se généralise dans de nombreux domaines, tels que la médecine, l’agriculture, l’industrie et l’éducation. Cependant, cela soulève également des questions éthiques et sociétales quant à l’impact de l’IA sur l’emploi, la vie privée, la sécurité et la responsabilité en cas de préjudice causé par des machines autonomes.

Pour faire face à ces problèmes éthiques profonds, des acteurs tels que Google estiment qu’il est nécessaire de réfléchir et d’affiner en amont des principes fondamentaux afin de prévenir tout dérapage potentiel. L’Union européenne travaille actuellement sur l’AI Act, une réglementation visant à encadrer les utilisations de l’IA[4]. Il est donc essentiel de prendre en compte ces enjeux afin de guider l’utilisation responsable et bénéfique de l’IA pour la société.

La virtualisation présente des avantages économiques importants, permettant le partage et la mutualisation des ressources physiques. Elle simplifie les déploiements et la maintenance, tout en offrant une réduction significative du nombre de postes et de serveurs physiques, ainsi que des économies d’énergie et de coûts immobiliers. La virtualisation des postes de travail améliore la flexibilité, la disponibilité et la sécurité du travail en permettant aux utilisateurs d’accéder à leur environnement de travail depuis divers périphériques légers et mobiles. En adoptant cette technologie, les entreprises peuvent réaliser des économies, prolonger la durée de vie de leur parc informatique et renforcer leur résilience face aux cyberattaques.


La virtualisation : une technique clé pour optimiser les ressources informatiques

La virtualisation : une technique clé pour optimiser les ressources informatiques - Didaktic

            Image par Ales Munt, virtual reality room, de Canva, CC BY

La virtualisation est une technologie qui permet de créer des environnements informatiques distincts sur une même machine physique, garantissant ainsi leur isolation mutuelle. Cette méthode ingénieuse permet d’émuler ou de virtualiser des machines réelles, offrant ainsi la possibilité de simuler le comportement authentique d’un système d’exploitation sur différentes architectures, tout en étant exécuté sur un seul système hôte.

Les systèmes d’exploitation lancés sur la machine virtuelle interagissent directement avec le matériel, sans se rendre compte de la virtualisation en cours. Cette approche trouve ses racines dès les années 60, lorsqu’IBM l’a créée pour permettre aux mainframes d’exécuter des tâches multitâches[5].

Il existe différents types de virtualisation, dont la virtualisation matérielle mise en œuvre par les fabricants de processeurs et de machines. Cette technologie permet la virtualisation sans nécessiter un système hôte spécifique. Bien qu’elle offre des performances élevées, elle se révèle moins flexible et plus coûteuse, car elle requiert une machine dédiée exclusivement à la virtualisation.

C’est la virtualisation logicielle qui demeure la plus répandue, notamment grâce à des logiciels tels que Virtual Box de Sun[6]. Elle permet l’exécution simultanée de systèmes d’exploitation hétérogènes sur une seule machine, assurant une isolation complète entre eux.

Au début des années 2000, la demande d’une architecture matérielle partagée est devenue de plus en plus forte, mais les offres matérielles disponibles sur le marché étaient insuffisantes. C’est à ce moment-là que les techniques de virtualisation ont émergé. Une décennie plus tard, ce processus a abouti à l’avènement des architectures de cloud computing, permettant ainsi la dématérialisation de toutes les ressources informatiques d’une entreprise[7][8].

La virtualisation offre de nombreux avantages économiques en permettant le partage et la mutualisation des ressources physiques, même si certaines applications gourmandes en ressources matérielles, telles que la messagerie Exchange ou certains moteurs de base de données, ne peuvent pas être virtualisées.

La virtualisation permet d’optimiser l’utilisation des data centers privés, également connus sous le nom d’infrastructures « sur site », gérées et maintenues par les entreprises elles-mêmes. Cette technologie permet d’atteindre un taux d’utilisation moyen de 50%, ce qui représente une économie deux fois supérieure par rapport à un data center non virtualisé. Grâce à cette approche, les entreprises peuvent maximiser l’efficacité de leurs ressources informatiques, réduire les coûts opérationnels et améliorer leurs performances globales[9].

La virtualisation est devenue une pratique courante dans le domaine des serveurs, mais elle est désormais étendue aux postes de travail, ce qui simplifie les déploiements et la maintenance. Toutefois, son adoption peut être plus complexe en l’absence de connexions à haut débit. La virtualisation des réseaux sur les infrastructures de télécommunications représente ainsi un domaine novateur et d’envergure. En virtualisant les postes de travail, il est possible de réduire de moitié le nombre de postes et de serveurs physiques dans votre infrastructure, tout en diminuant la consommation énergétique.

Cette technologie permet également de réduire les coûts immobiliers en réduisant le nombre de serveurs physiques, ainsi que les coûts de maintenance informatique grâce à la virtualisation sur une seule machine. L’adoption de la virtualisation des postes de travail offre une meilleure fluidité des processus et permet aux utilisateurs d’accéder à leur environnement de travail depuis des périphériques légers et mobiles, offrant une flexibilité et une disponibilité sans précédent.

La virtualisation des postes de travail présente plusieurs avantages, notamment en termes d’économies et de prolongation de la durée d’utilisation des équipements informatiques. De plus, elle constitue une réponse pertinente face aux cyberattaques. Les entreprises peuvent gérer efficacement leur parc informatique et faire face à l’augmentation des prix des matériels, qui peut atteindre 30% dans certains cas, en adoptant cette technologie qui existe depuis plusieurs années et dans différentes formes[10]. La méthode la plus efficace consiste à utiliser un petit boîtier spécialisé qui est connecté à l’ordinateur de l’employé, que ce soit dans l’entreprise, à domicile ou en déplacement chez les clients. Cette technologie permet d’atténuer considérablement les conséquences néfastes des cyberattaques sur le chiffre d’affaires et le service client.

 

La virtualisation des serveurs : repousser les limites des expériences virtuelles

Les avancées technologiques dans le domaine de la virtualisation des serveurs ont ouvert la voie à de nouvelles possibilités passionnantes dans le monde des expériences virtuelles. Que ce soit dans le domaine du cloud computing, des centres de données définis par logiciel, de l’infrastructure de bureau virtuel (Virtual Desktop Infrastructure, VDI) ou de l’émulation de systèmes d’exploitation, la virtualisation des serveurs joue un rôle clé dans la création de ces expériences uniques[11].

Le cloud computing est devenu une réalité grâce à la virtualisation des serveurs. Des géants de l’industrie tels qu’Amazon Web Services, Microsoft Azure et Google Cloud Platform ont bâti leur infrastructure sur la virtualisation des serveurs. Les clients peuvent désormais louer des ressources informatiques, telles que des machines virtuelles, pour exécuter leurs applications et stocker leurs données. Cette flexibilité et cette évolutivité permettent aux utilisateurs de profiter d’expériences virtuelles personnalisées sans avoir à investir massivement dans leur propre infrastructure.

Au cœur de la virtualisation se trouve la création d’une représentation virtuelle des ressources et du hardware sous-jacent des appareils informatiques. Ce processus utilise un logiciel spécialisé pour émuler les fonctionnalités et les capacités des machines physiques. En créant ces environnements virtuels, la virtualisation permet aux utilisateurs de profiter d’une flexibilité et d’une gestion optimisées des applications et des services. En combinant la puissance du logiciel et des représentations virtuelles, la virtualisation offre de nombreuses possibilités pour repousser les limites entre fictions et réalités.

Les centres de données définis par logiciel (Software-Defined Data Center, SDDC) sont une autre application de la virtualisation des serveurs qui repousse les limites des expériences virtuelles. Dans les SDDC, toutes les ressources du centre de données, y compris les serveurs, le stockage et le réseau, sont créées et gérées de manière logicielle. Cela offre une flexibilité accrue, une gestion centralisée et une automatisation des opérations, ce qui permet d’optimiser les performances et d’adapter les ressources aux besoins spécifiques des expériences virtuelles.

La virtualisation des serveurs joue également un rôle essentiel dans la fourniture d’environnements de bureau virtuels grâce à la technologie de la Virtual Desktop Infrastructure (VDI). Avec la VDI, les postes de travail sont exécutés sous forme de machines virtuelles sur des serveurs centralisés. Les utilisateurs peuvent ainsi accéder à leur bureau depuis n’importe quel appareil, offrant une flexibilité et une mobilité accrues tout en garantissant la sécurité des données. Les développeurs bénéficient également des avantages de la virtualisation des serveurs grâce à l’utilisation de machines virtuelles pour créer des environnements de développement isolés. En configurant une machine virtuelle avec les outils et les configurations spécifiques nécessaires, les développeurs peuvent travailler efficacement sans affecter leur machine physique. Cette approche permet une meilleure collaboration, des tests plus rapides et une plus grande flexibilité dans le processus de développement.

La migration des serveurs est une réalisation concrète de la virtualisation. Grâce à cette technologie, les machines virtuelles peuvent être déplacées rapidement et facilement d’un serveur physique à un autre. Lorsqu’il est nécessaire de remplacer ou de mettre à niveau un serveur, la virtualisation permet de transférer les machines virtuelles sans perturber les services. Cette migration transparente garantit une continuité d’activité sans interruptions indésirables.

Enfin, l’émulation de systèmes d’exploitation est une autre application de la virtualisation des serveurs qui offre des possibilités infinies pour les expériences virtuelles. En émulant différents systèmes d’exploitation sur une même machine physique, il est possible de tester des applications dans des environnements variés ou d’exécuter des systèmes d’exploitation obsolètes nécessaires pour des applications spécifiques. Cette capacité à simuler différentes configurations matérielles et logicielles élargit les horizons des expériences virtuelles en repoussant les limites de la réalité.

Outre la virtualisation des serveurs, l’économie virtuelle est une autre tendance en plein essor qui transforme les interactions économiques traditionnelles en activités virtuelles. Cette transition favorise le télétravail, mais nécessite également une maîtrise des plateformes d’automatisation, des systèmes de gestion de la relation client(CRM) et des outils de présentation virtuelle afin d’assurer la cohésion d’équipe et la mobilisation des employés.


Les multiples facettes de la virtualisation : des applications dans le divertissement, le marketing et bien plus encore

La virtualisation se décline en trois niveaux, chacun offrant différentes possibilités d’interaction avec le monde réel et virtuel. Au premier niveau, on trouve la virtualisation d’un bureau, permettant aux organisations de disposer d’un espace virtuel pour leurs activités. Le deuxième niveau concerne la virtualisation des serveurs, où les ressources matérielles et logicielles sont partagées entre plusieurs systèmes d’exploitation. Enfin, au troisième niveau, nous retrouvons la réalité virtuelle (VR), où les utilisateurs sont immergés dans des environnements générés par ordinateur à l’aide de casques ou de dispositifs de réalité virtuelle. En outre, les organisations virtuelles se caractérisent par l’absence d’un espace physique partagé, permettant aux membres de travailler ensemble à distance grâce aux télécommunications[12]

Le marché de la réalité augmentée, apparu récemment, connaît une croissance exponentielle grâce à l’implication de géants du numérique tels que Google et Apple. Ces entreprises développent en permanence de nouveaux outils et projets pour rendre cette technologie accessible et facile à utiliser. Ainsi, la réalité augmentée ne se limite plus au domaine du divertissement, mais trouve également des applications dans de nombreux secteurs professionnels tels que le marketing, l’architecture et la santé. Elle permet d’élaborer des scénarios virtuels pour améliorer la prise de décision tout en minimisant les risques[13].

La réalité augmentée (AR) est une technologie innovante qui permet la superposition d’informations numériques, telles que des graphiques, des coordonnées GPS, des données textuelles ou des vidéos, sur l’environnement réel à travers une interface en 2D ou 3D. Elle transforme ainsi la perception de l’utilisateur et offre de nombreuses possibilités d’interaction. Cette technologie peut être utilisée via divers appareils tels que les smartphones, les tablettes, les casques et les lunettes.

La réalité augmentée ouvre de nouvelles perspectives et constitue un domaine en constante évolution. Son potentiel est immense et promet d’apporter des innovations majeures dans de nombreux secteurs. Les entreprises et les professionnels qui sauront exploiter cette technologie seront en mesure de transformer leur façon de travailler et de créer des expériences uniques pour leurs utilisateurs. Les professionnels de la logistique peuvent également bénéficier du déploiement de la réalité augmentée pour gérer leurs processus, de la gestion de la chaîne d’approvisionnement à la gestion des entrepôts et au transport des colis. Voici quelques exemples concrets d’applications possibles[14].

Atténuer les cybermenaces avec la virtualisation des serveurs

 

ATTÉNUER LES CYBERMENACES AVEC LA VIRTUALISATION DES SERVEURS - Didaktic

             Image par D3Damon (Cloud server),  de Getty image, CC BY

Ces dernières années, la virtualisation des serveurs est devenue une pratique de plus en plus répandue, et cette tendance devrait se poursuivre dans un avenir proche. Cette approche offre de nombreux avantages, notamment en termes de sécurité informatique, de flexibilité accrue, de productivité améliorée et de possibilités d’évolution pour les entreprises.

Aux États-Unis, la virtualisation des serveurs occupe la première place sur le marché mondial des logiciels dans ce domaine, avec une valeur estimée à 2,6 milliards de dollars en 2021. Cependant, la Chine connaîtra une croissance rapide, avec un taux de croissance annuel moyen de 9 % prévu sur la période analysée, ce qui propulsera le marché chinois à une valeur de 997 millions de dollars d’ici 2026[15]. Il est également essentiel de surveiller d’autres marchés géographiques tels que le Japon, le Canada, l’Europe, l’Asie-Pacifique et l’Amérique latine, car ils présentent également un fort potentiel de développement.

La virtualisation des serveurs offre de multiples avantages, tels que la réduction des interruptions de service, l’optimisation de la disponibilité des systèmes, l’accélération du déploiement des charges de travail et une gestion simplifiée pour les administrateurs. De plus, elle permet de réduire les coûts liés à la maintenance des serveurs physiques. Il convient néanmoins de noter que la mise en place de solutions de virtualisation nécessite des compétences techniques coûteuses, ce qui peut être évité en confiant cette tâche à un prestataire spécialisé en virtualisation informatique.

 

En conclusion, la virtualisation des serveurs représente un excellent moyen de réduire les cybermenaces et de fournir des solutions flexibles et productives aux entreprises. Il est primordial de suivre les tendances du marché et de sélectionner le prestataire de services en virtualisation informatique le mieux adapté à vos besoins spécifiques.


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